Éric Vassal présente ses travaux de 2000 à 2024 à travers quelques œuvres et de nombreux catalogues ou éditions.
Présenter à la galerie L’Antichambre un ensemble d’œuvres s’échelonnant de la série Anamnèse (début des années 2000) jusqu’aux pièces les plus récentes de la série Graffiti, c’est rouvrir un dialogue avec le temps, les formes, les silences.
Ces travaux — peintures, photographies, sculptures planes — jalonnent un parcours où la mémoire s’incarne dans la matière, où chaque image, chaque surface devient le lieu d’une tension entre effacement et persistance. Certaines de ces œuvres ont rejoint les collections nationales ; d’autres marquent de nouvelles explorations, engagées dans une réflexion sur la trace, la disparition, le visible.
Cette exposition s’inscrit dans un projet imaginé à l’échelle de la région Auvergne-Rhône-Alpes, à l’occasion de la parution de la monographie Anaptyxes, que m’a consacrée la Collection de l’Atelier. Loin d’un bilan, il s’agit ici d’une traversée : un regard porté sur un ensemble de gestes, de matières et d’interrogations.
À partir du 3 octobre, la galerie partenaire Le 116Art, à Villefranche-sur-Saône, accueillera la seconde étape de ce parcours, prolongeant la résonance des œuvres dans un autre espace, une autre lumière.
Ces travaux — peintures, photographies, sculptures planes — jalonnent un parcours où la mémoire s’incarne dans la matière, où chaque image, chaque surface devient le lieu d’une tension entre effacement et persistance. Certaines de ces œuvres ont rejoint les collections nationales ; d’autres marquent de nouvelles explorations, engagées dans une réflexion sur la trace, la disparition, le visible.
Cette exposition s’inscrit dans un projet imaginé à l’échelle de la région Auvergne-Rhône-Alpes, à l’occasion de la parution de la monographie Anaptyxes, que m’a consacrée la Collection de l’Atelier. Loin d’un bilan, il s’agit ici d’une traversée : un regard porté sur un ensemble de gestes, de matières et d’interrogations.
À partir du 3 octobre, la galerie partenaire Le 116Art, à Villefranche-sur-Saône, accueillera la seconde étape de ce parcours, prolongeant la résonance des œuvres dans un autre espace, une autre lumière.