À la tombée de la nuit, nos repères disparaissent et le monde prend une autre dimension. Les formes se brouillent, les sons s’intensifient, les ombres éveillent en nous des peurs ou des angoisses. La nuit est-elle réellement plus menaçante que le jour ?
Pourquoi semble-t-elle raviver nos craintes les plus profondes ? Sommes-nous conditionnés à craindre l’obscurité ou est-ce notre imagination qui s’emballe quand le monde s’obscurcit ?
Par Pascal HOT, Professeur des Universités en neuropsychologie au Laboratoire de Psychologie et NeuroCognition (LPNC) de l’Université Savoie Mont Blanc.
Par Pascal HOT, Professeur des Universités en neuropsychologie au Laboratoire de Psychologie et NeuroCognition (LPNC) de l’Université Savoie Mont Blanc.