Patricia Allio bascule au théâtre sa perception de ce moment qu’elle suspend entre deux mots bretons : Dispak – ouverture – et Dispac’h – révolution.
Patricia Allio / ICE
En janvier 2018, le Tribunal Permanent des Peuples consacrait une session à la violation des droits des personnes migrantes et réfugiées. Le GISTI (Groupe d’Information et de soutien des Immigrés) y lisait un acte d’accusation contre l’Europe et ses pays membres.
Deux mots pour activer une parole qui cherche la vérité au-delà des lois et des verdicts, au plus près des humains. Sur un plateau transformé en agora, se regroupent au milieu des spectateurs une actrice, un danseur, mais aussi des citoyens militants, des activistes et des juristes. Les témoignages se font entendre dans un spectacle documentaire d’une force rare. Une expérience théâtrale engagée et émouvante, en prise avec l’actualité.
En partenariat avec Migrant’scène
En janvier 2018, le Tribunal Permanent des Peuples consacrait une session à la violation des droits des personnes migrantes et réfugiées. Le GISTI (Groupe d’Information et de soutien des Immigrés) y lisait un acte d’accusation contre l’Europe et ses pays membres.
Deux mots pour activer une parole qui cherche la vérité au-delà des lois et des verdicts, au plus près des humains. Sur un plateau transformé en agora, se regroupent au milieu des spectateurs une actrice, un danseur, mais aussi des citoyens militants, des activistes et des juristes. Les témoignages se font entendre dans un spectacle documentaire d’une force rare. Une expérience théâtrale engagée et émouvante, en prise avec l’actualité.
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