À la croisée du chant, du théâtre et de la manipulation d’objets, Julien Daillère, co-responsable artistique de LBO centre d’art en EHPAD, invente un espace de co-création drôle et décalé.
Julien Daillère / La TraverScène
Dans son nouveau « solo coopératif », Julien Daillère explore l’oubli comme un art de vivre. Les spectateurs qui le souhaitent sont invités, depuis la salle ou sur scène, à lire un texte, enregistrer leur voix ou écrire les mots qu’ils désireraient oublier. Avec un humour plein d’intelligence et de délicatesse, son approche enjouée de l’oubli se fait par fragments, étudiant de manière ludique notre expérience de la mémoire, ravivant des souvenirs précis ou explorant ses propres zones d’ombre. À partir de ses voyages ou ses recherches sur la vieillesse, il transforme la scène en un lieu où la mémoire se partage, en interrogeant sur ce que nous choisissons de garder… ou d’oublier.
Dans son nouveau « solo coopératif », Julien Daillère explore l’oubli comme un art de vivre. Les spectateurs qui le souhaitent sont invités, depuis la salle ou sur scène, à lire un texte, enregistrer leur voix ou écrire les mots qu’ils désireraient oublier. Avec un humour plein d’intelligence et de délicatesse, son approche enjouée de l’oubli se fait par fragments, étudiant de manière ludique notre expérience de la mémoire, ravivant des souvenirs précis ou explorant ses propres zones d’ombre. À partir de ses voyages ou ses recherches sur la vieillesse, il transforme la scène en un lieu où la mémoire se partage, en interrogeant sur ce que nous choisissons de garder… ou d’oublier.
