Quelque part, des elles fabriquent un monde et un langage à partir des ruines de l'ordre patriarcal. Elles vivent, dansent, chantent, et on ne les connaît que par de brefs instants rapportés, bouts de discours et éléments de leurs cosmogonies.
Camille Blois, Zoé Gourbin, Élise Watts donnent corps à l'utopie féministe de Monique Wittig, sous le regard dramaturgique de Julie Hugon.
Un souffle profond, toujours vivant.
"Épopée puissante et violente, manifeste politique, utopie sensible" Maison de l'Écologie
Alors on s'agrippe et on tente comme elles de reconstituer une narration, toujours fragile. On sent une atmosphère de rires, de sauvagerie joueuse, de fêtes. Imperceptiblement, la violence s'immisce, les symboles sont renversés, des elles s'assemblent.Les ils apparaissent et une guérilla s'engage sur tous les fronts possibles, y compris celui du langage. La rage pourrait détruire le monde ou le sauver. Trois narratrices donnent corps à l'utopie féministe de Monique Wittig. Un souffle profond, toujours vivant.
Un souffle profond, toujours vivant.
"Épopée puissante et violente, manifeste politique, utopie sensible" Maison de l'Écologie
Alors on s'agrippe et on tente comme elles de reconstituer une narration, toujours fragile. On sent une atmosphère de rires, de sauvagerie joueuse, de fêtes. Imperceptiblement, la violence s'immisce, les symboles sont renversés, des elles s'assemblent.Les ils apparaissent et une guérilla s'engage sur tous les fronts possibles, y compris celui du langage. La rage pourrait détruire le monde ou le sauver. Trois narratrices donnent corps à l'utopie féministe de Monique Wittig. Un souffle profond, toujours vivant.





