Pour les plus petits d’entre nous, la géniale compagnie Les Bestioles invente un théâtre plastique taillé sur mesure pour nos premiers émois artistiques.
Martine Waniowski / Cie Les Bestioles
Pliés, froissés, jetés, mâchés… ils sont partout ces petits papiers et la scène est transformée en un immense paysage à la blancheur immaculée. C’est un épais manteau de neige ou peut-être une grande vague venant se casser sur le rivage. Dans ce spectacle à la poésie visuelle et sonore, deux drôles de personnages nous invitent à une histoire dansée.
C’est une ode à la matière dans laquelle un monde entier s’anime pour venir ricocher aux quatre coins de nos imaginaires. Au cœur de cette pure rêverie, tout se transforme à l’infini au son des musiques de Gilles Sornette et de la Septième Symphonie de Beethoven qui nous embarquent pour une chevauchée à la tendresse infinie.
Pliés, froissés, jetés, mâchés… ils sont partout ces petits papiers et la scène est transformée en un immense paysage à la blancheur immaculée. C’est un épais manteau de neige ou peut-être une grande vague venant se casser sur le rivage. Dans ce spectacle à la poésie visuelle et sonore, deux drôles de personnages nous invitent à une histoire dansée.
C’est une ode à la matière dans laquelle un monde entier s’anime pour venir ricocher aux quatre coins de nos imaginaires. Au cœur de cette pure rêverie, tout se transforme à l’infini au son des musiques de Gilles Sornette et de la Septième Symphonie de Beethoven qui nous embarquent pour une chevauchée à la tendresse infinie.